a Payen Lucie 11 éve
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Ce sujet fait débat car en tant qu'outil de communication, le smartphone peut entrainer l'isolement et détruit parfois certains liens.
UN RETOUR À LA PROXIMITÉ
La multiplication des modes de communication ne remplace pas les échanges en face à face. Mais de nombreuses études depuis le début de l'Internet grand public indiquent que plus on a d'interactions avec d'autres personnes en face à face, plus on a d'interactions virtuelles, et réciproquement. Les échanges numériques alimentent des relations bien réelles de proximité. Au point que beaucoup de réseaux sociaux se développent aujourd'hui sur des critères géographiques, voire microlocaux, au niveau d'un quartier, d'un immeuble. C’est le cas de services comme Onvasortir.fr (partager des activités), Maresidence.fr (rencontrer ses voisins, connaître la vie de son quartier), ou encore Voisin-Age.fr (rencontrer des personnes seules, isolées). Loin d'être synonyme de deterritorialisation ou d'abolissement des distances, ce type de réseaux sociaux de quartiers anime la vie locale, organise et médie les échanges entre voisins. Ces dispositifs s'enrichissent souvent d'informations locales associatives, publiques (mairies), culturelles, des commerçants, voire de petites annonces et d'échanges de services
Utilisé à outrance, le smartphone empêche la communication.
Le smartphone en tant qu'objet freine les personnes à créer des liens.
désengagement corporel
techonologies favorisent les divorces
Pour 37% des Français, oublier son smartphone à son domicile est pire que d'oublier ses clés.